Cours d'empathie à l'école. Un sujet qui m'interpelle, et je commence par essayer de jouer sérieusement sur les mots :
"Le cours d'empathie, pas seulement une histoire de cour de récréation.
Elle court, elle court l'empathie !
L'empathie, ça risque d'être un peu court jeune homme ! Je l'envisage plus largement pour que la bienveillance ait cours entre élèves, enseignants, personnels non enseignants, parents, rectorat, ministère.
Chacun ne devrait-il pas suivre son cours d'empathie et appréhender son propre parcours pour faire vraiment que la situation actuelle ne suive plus son cours ?
L'empathie, en cours de cogitation
L'empathie pour couper court au harcèlement et ne pas laisser libre cours à toute forme de violences et d'agression entre les murs de l'école et sur les réseaux sociaux sur lesquels se développent des formes de chasse à courre, et presque sans recours.
Qui sera la capitaine au long cours dans cette dynamique ?
Fera-t-on appel à des chargés de cours ? Un cour particulier ... tout en restant collectif ? Avec quel plan de cours, histoire de ne pas être pris de court ?"
Un sujet qui me relie à deux autres sur lesquels je me suis penché successivement :
- La QVT (Qualité de Vie au Travail), avec un article consacré à l'école : La QVT sur les bancs
- L'idée de Société et de Territoires de la Bienveillance, l'école, la classe, la cour, les réseaux sociaux constituant des territoires de bienveillance. Je donne le lien d'un élément de modélisation : une équation de la bienveillance
Je reviendrai prochainement sur ce sujet, sous le prisme plus large d'une Société et de territoires de la bienveillance.
Mes articles traitant de l'empathie :